Marathon de Paris, le 8 avril 2018,

par Corinne Schiele

 

Après un entraînement encore semé d’embûches je n’étais pas certaine de pouvoir passer sous les 4h. Le marathon de Paris est pour moi le plus magique, il m’avait manqué, il m’a porté, même si je ne supporte pas la chaleur, mon cousin non plus, on a rien lâché. Nous avons traversé des épisodes de pure bonheur comme des épisodes de doutes (la tête qui tourne, l’envie de... vomir). Après le km30, on oublie les jambes. C’est dans la tête que ça se passe. Je remercie au passage le Club, mes copines et l’entraîneur, sans lesquels je ne réussirais pas les séances de fractionnés. Merci du fond du cœur, vous êtes de ces 3:57.

 
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